Juste avant l’oubli, Alice Zeniter
Vite vite mais viiiiiiiiiiiite. Oui je dois vite écrire ce billet, juste avant l’oubli. Et la fenêtre de tir est très étroite car l’oubli va venir rapidement (et en l’occurrence, c’est plutôt une bonne nouvelle).
En tout cas, je sais maintenant ce qu’il y a juste avant l’oubli : de l’ennui, de l’ennui et de l’ennui. J’ai tenu bon sur 129 pages avant de jeter l’éponge. Je n’ai même pas envie de savoir la fin, à vrai dire je m’en fiche royalement. Si j’avais su je n’aurai même pas eu envie de connaitre le début, c’est vous dire ! Mais je ne suis pas inquiète, d’ici quelques heures j’aurai tout oublié. Ouf !
J’avais choisi ce livre (soi-disant « aux allures de roman noir » dixit la quatrième de couverture, mouais… faudra revoir la définition de noir, roman transparent je dirais plutôt s’il faut vraiment donner une couleur) je l’ai choisi donc, car voyager dans les Hébrides me fait rêver. Hélas, ce fut un fiasco total : mon bateau a pris l’eau et j’ai détesté tous les passagers. Bref, une lecture désastreuse au titre prémonitoire. Un bon conseil, pour découvrir les Hébrides, lisez plutôt Peter May.
Allez, sans rancune, et Mar sin leat comme on dit là-bas, en gaélique…
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